Avec Août 61, Sarah Cohen-Scali continue le travail de mémoire entamé avec Max (éd. Gallimard Jeunesse), où l’on découvrait le terrible programme Lebensborn imaginé par les Nazis, et Orphelins 88 (éd. Robert Laffont), qui nous emmenait à la rencontre de tous ces orphelins jetés sur les routes au lendemain de la libération de l’Allemagne. Presque suite directe, Août 61 s’étire sur une période plus longue pour évoquer le sort de l’Allemagne après la guerre, à travers le récit d’une histoire d’amour…