Un entretien avec Xavier d’Almeida

A l’occasion de la gazette Un automne chez PKJ, nous avons consacré le portrait éditeur à Xavier d’Almeida, directeur de collection aux éditions Pocket Jeunesse. Découvrez son entretien autour du Fracas et le silence et de notre test autour de cinq romans qui font peur. Il a accepté de nous confier deux anecdotes sur deux prochaines parutions poche qui lui tiennent à cœur et enfin un scoop sur la suite tant attendue de La Carte des confins

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Pocket Jeunesse – Entretien avec Xavier d’Almeida, Directeur de collection

Cette année PKJ fête ses vingt-cinq ans avec un programme éditorial exceptionnel, notamment pour les Young Adult. Depuis janvier, sont parus entre autres L’Enchanteur de Stephen Carrière et  Nous sommes l’étincelle de Vincent Villeminot, deux romans déjà fortement salués par la critique. Xavier d’Almeida est directeur de collection chez Pocket Jeunesse : sa spécialité les 13 ans et +. Il a accepté de nous livrer quelques secrets sur son travail d’éditeur. Lire la suite

L’enchanteur : tous conquis

« Enchanté, bouleversé jusqu’à l’os, surpris, secoué, éraflé. Bravo Stephen Carrière : voilà la littérature de jeunesse que j’aime. »
La Librairie de Paris (Paris)

« C’est une merveille !!! Tout simplement !
Tout est réussi dans ce texte, (…) le ton à la fois poétique et moderne, les dernières pages m’ont émue aux larmes. »
La librairie La Parenthèse (Annonay)

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Stephen Carrière nous enchante

« Je me suis posé beaucoup de questions sur la façon de raconter notre histoire. Ce que j’ai trouvé le plus difficile, c’est la temporalité du récit. La rentrée était derrière nous, on avançait sur octobre. On était embarqués dans quelque chose, dès les premiers jours, on le savait je crois. Il y a une excitation très particulière à se sentir engagé sur une trajectoire. C’est là où on se rend compte qu’on est rarement en mouvement dans la vie. Ça m’a manqué après. L’immobilité de l’âme, c’est un truc encore plus flippant que la mort. Je pense que c’est ce que les gens appellent la dépression. Et puis j’ai commencé à écrire, et c’est revenu. Très fort. Je comprends pourquoi on peut passer toutes ses journées à écrire des livres. Cela me fait un peu peur aussi parce que si on commence et qu’on s’interrompt, ça doit créer un vide atroce, comme quand on perd un de ses meilleurs amis. »
(Extrait – chapitre 18)

Imaginez une équipe d’idéalistes aux méthodes brillantes et peu orthodoxes,
qui se lance un défi artistique et humain dans une ville en proie à des peurs subjacentes et à des tensions croissantes… Lire la suite